Que dire de cette première rencontre...

Bien le bonjour ou le bonsoir (tout dépendant de l'heure où vous lisiez ce texte...)

J'étais parmi les 417 voix qui ont chantées en cette première rencontre... Que dire de cette première rencontre...

En arrivant à la polyvalente de Charlesbourg, je me retrouve dans un stationnement qui était pas mal rempli. Je trouve une place et je salue, en me stationnant, un homme que je ne connaissait pas du tout mais avec qui je sentais déjà un point commun. Et tout cela au premier coup d'oeil...

En me rendant vers la bâtisse, je tombe sur une ancienne collègue de chant. Nous franchissons donc ensemble les portes de la polyvalente de Charlesbourg. Nous nous retrouvâmes dans un univers très fébrile dans lequel, je l'avoue, je me suis senti désorienté. Une fois mon nom donné, je me suis retrouvé avec des collègues de chants actuels (des voix d'Azimuts).

Se rendre à l'auditorium avec tous ces gens que l'on ne connaît pas c'est quelque chose. Notre point en commun: deux choses: la passion de chanter avec d'autres et l'anniversaire d'une Ville quadre-centenaire...

Que dire de celles (et celui) qui nous ont dirigés tour à tour... Et ici je mentionne Johanne Bolduc, Julie Lachance (avec son accent nasal), Gisèle Pettigrew, Carole Bellavance et David Rompré... Ces personnes avaient de l'énergie à revendre (et je crois savoir d'où elle venait cette énergie en partie: nous, les choristes). Cependant, je crois que c'est donnant-donnant: les choristes leur en donnaient de l'énergie mais elles nous le rendaient... J'ai énormément apprécié l'approche de Johanne Bolduc auprès des choristes. Je ne sais comment vous l'écrire, mais j'avais senti qu'une relation s'était instaurée entre elle et le groupe. De plus c'était elle qui avait cassé la glace avec le groupe...

Je suis sorti de la pratique très fatigué mais d'une bonne fatique. J'essaie de ne pas trop penser au jour J (ou au jour 400, si vous aime« mieux). Je préfère plutôt me concentrer sur ce que je vis comme étapes de préparation en individuelle ou en groupe. Vivrfe les choses étapes par étapes. Et vous, les gens du sud de la province, ce sera votre tour de vivre ce premier contact officiel le 10 avril prochain. Je ne serai pas parmi des vôtre mais je pense me reprendre le 25 mai prochain...

D'ici là, j'aimerais avoir les commentaires de toutes les personnes qui ont vécues, d'une manière ou d'une autre, ce premier contact en grand groupe. Et j'espère avoir à travers cela, le vécu de ceux et celels qui ont vécues ce premier contact à Montréal, en avril prochain...

Que diantre...

En vous parlant de cette première journée, de cette première rencontre en groupe... j'avais oublié quelqu'un. Le capitaine de ce navire (qui en passant se demande où accostera ce navire: au petit colisée ou au Colisée Pespi...)... J'ai nommé Denis Thériault...

C'est l'âme de ce projet, c'est celui qui fera tout ce qu'il peut pour nous mener à bon port... Je crois que lui aussi a sûrement été étonné de ce premier contact entre le choeur (une partie) et ses dirigeants.

Des commentaires que j'ai recueillis, comme première rencontre à Québec, on ne pouvait demander mieux. Et j'espère que vous vivrez la même choses, les gens du sud de la province. Et j'aimerais bien avoir vos commentaire sur votre première rencontre en grand groupe.

Je trouve cela spécial que des gens de la province de Québec, de l'ouest Canadien, de l'Europe et des États-Unis se réunissent pour chanter en choeur un événement historique, il y a 400 ans. Voilà ce que la musique peut faire. Le groupe suédois ABBA avait déjà chanté:« Sans la musique ou la danse, qui sommes-nous?» (Whitout a song or a dance what are we?),[b]Thank you for the music[/b». En regard de ce que je vis présentement, cela est plus que vrai.

J'ai entièrement confiance en notre capitaine et à ses assistants pour mener ce navire quadrecentenaire à bon port. Et croyez-moi, ce sera une expérience inoubliable.

J'ai aussi bien aimé cette belle journée remplie d'énergie et d'étonnement. Certains connaissaient déjà très bien leurs partitions, surtout les ténors à mon avis...je blague!

J'ai peine à m'imaginer ce que donnera les chants avec l'ensemble des 1300 choristes. Je crois qu'il y aura quand même une petite perte de précision surtout dans les passages plus rapides, mais l'énergie qui s'en dégagera sera divin.

Les responsables qui nous ont fait pratiquer, avec chacune leur style, ont démontré une très grande maîtrise de leur art, une merveilleuse sensibilité et de belles valeurs humanistes. La présentation de la chanson faite par David Rompré des Rhapsodes était rapide et surprenante, mais également très touchante.

Bravo à cette belle gang de la timonerie et des matelots.

Bonjour
Je suis entièrement d'accord avec vous, concernant le dynamisme de nos chefs de choeurs. Ces 4 femmes pleines d'énergie et qui nous faisaient partager leur passion commune, et faut pas oublier les pianistes... Comme Mme Richard, elles sont remplies de musique. Elles sont vivantes et vibrantes comme toutes ces notes de musique et ces accords....
Bravo
Raymond Francoeur ing.f
en Fête

M. Viateur,

Faisons confiance à nos excellents capitaines, très compétents, j'ai eu la chance de chanter à plusieurs reprises sous leur gouverne et en grand groupe, je peux vous dire que la précision n'est pas un problème malgré les apparences de difficulté que l'on peut appréhender à 1000. Une condition, que chacun fasse son travail individuel jusqu'à savoir par coeur même si non requis officiellement. Les yeux et les voix deviennent alors complètement disponibles au chef et le choeur peut réagir au quart de tour, c'est vraiment impressionnant pour l'avoir vécu. Plus les choristes arrivent préparés, plus la symbiose se fait rapidement, plus les gens chantent le sens du texte et font passer la musique et l'émotion vers le spectateur. Je crois que la passion qui anime les choristes que se sont inscrits guidera leur apprentissage et les gens seront prêts au jour J, faisons-nous entièrement confiance. Au plaisir!

Je suis tout à fait d'accord avec vous Liric, concernant le fait d'apprendre par coeur les chants... il est vraiment plus agréable pour chaque choriste de suivre le chef de choeur que d'avoir le nez dans sa partition. La symbiose se fait beaucoup mieux.... C'est un plaisir pour moi d'être dirigée par un chef de choeur.... et je me laisse emporter par toute la beauté du chant.

De mon côté, je crois que c'est cela que je vais faire. Le fait de suivre quelqu'un qui nous dirige nous permet d'atteindre de belles nuance qui, des fois peuvent arriver sur le coup du moment dans la tête de notre chef de choeur. Et c'est certain que lorsque l'on a le nez dans nos feuilles, eh bien on vient de manquer quelque chose... Et on peut faire un solo malgré nous...

Tenez par exemple. Nous avions, les hommes, pratiqué les solos de la "Chanson à virer" lors de la première rencontre. Je peux vous assurer qu'il y a des paroles en masse, que le rythme est assez rapide et que je suis content de ne pas avoir de partiel (car je l'aurais perdu quelque fois...). Mais une chose est certaine. Celle qui nous dirige veut faire quelque chose de spontané et de dynamique avec cette chanson-là. La seule façon d'être efficace, c'est de connaître les paroles par choeur... euh... par coeur et de suivre notre guide. Le résultat sera au-delà de nos attentes, j'en suis certain.

Et en plus, je viens d'apprendre que le concert se fera au Colisée Pepsi... Le plus drôle, c'est que j'avais été à la symphonie des Mille de Malher le 15 mars dernier. En me rendant à ma section, j'entendais les choristes faire leur vocalise. En les voyant, je me suis dit:"Dire que dans 4 mois, ça va être mon tour" C'est spécial...

Il me tarde d'être à la pratique du 10 mai pour revivre cette symbiose de groupe...

Ç'a été instantané j'ai ue un fou rire a en avoir mal au ventre mais ça fait du bien.Depuis toutes ces années je n'ai jamais réalisée que c'était un des risques du choriste(de le perdre ou de le recevoir...)
Bien d'accord avec vous.Si on connait nos chants que de façon "patiel" on risque de ne pas y mordre a "pleines dents"...HiHiHi

Au plaisir du 10 mai.
Danielle